
Selon un accord signé entre Taiwan et le Japon en 2007, les ressortissants des deux pays peuvent se mettre au volant dans le pays d’accueil s’ils sont dotés d’un permis de conduire de leur propre pays. Chaque titulaire peut bénéficier de ce dispositif de facilité pour un an durant.
Cependant, en plus du permis de conduire international émis par les autorités taiwanaises, la partie japonaise requiert par ailleurs une traduction en japonais de ce document. Du fait que de plus en plus de Taiwanais préfèrent voyager dans l’archipel à titre individuel, le nombre de permis de conduire à traduire augmente de manière rapide, soit plus de 200 000 documents à traiter tous les ans.
Afin de rendre la tâche plus efficace et plus économique, le bureau taiwanais de la gestion routière entend électroniser les démarches. Des discussions bilatérales ont été entamées avec l’objectif de mettre le nouveau système en oeuvre dès 2019.