
Après l’éruption du volcan sous-marin de l’archipel d’Ogasawara, au sud du Japon, en août dernier, des tonnes de pierres ponces se sont répandues à la surface de la mer avant d’envahir une partie des côtes d’Okinawa. Plus de trois mois après l’éruption, une partie des pierres ont atteint les côtes est taïwanaises et continuent de dériver vers le sud. Un véritable problème pour les chalutiers locaux qui doivent prendre le large. Plusieurs institutions taïwanaises, dont les garde-côtes, le Corps national de service aéroporté, l’Administration pour la conservation océanique (OCA) et l’Académie nationale pour les recherches marines (NAMR), ont envoyé des agents pour des inspections et des études sur place.