Alors que la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen a rencontré le président de la chambre des États-Unis Kevin McCarthy à Los Angeles, le président français Emmanuel Macron, accompagné de la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen, est aussi arrivé en Chine. Peut-on attendre de la Chine une aide pour la paix en Ukraine alors que Pékin détache des navires de guerre dans le détroit pour répondre à la visite de Tsai aux Etats-Unis ?

- L'Assemblée générale de l'ONU adopte la résolution sur le climat portée par le Vanuatu

Alors que la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen est partie pour les Etats-Unis pour un voyage qui la conduira au Guatemala et au Belize, deux alliés diplomatiques de la République de Chine, nom officiel de Taïwan, avec également deux escales aux Etats-Unis. Parallèlement, l'ancien président du Kuomintang (KMT) Ma Ying-jeou, est arrivé en Chine pour une visite de courtoisie orchestrée au même moment et à l'approche du Qingmingjie (fête du nettoyage des tombes). Ce double voyage est symbolique dans la manière dont Taïwan se place à l'épicentre des tensions entre Chine et Etats-Unis et représente en partie les dissensions politiques internes.

- Après la dissolution du Parlement, la campagne électorale débute en Thaïlande

Le rétablissement des relations diplomatiques entre l’Arabie saoudite et l’Iran avec l'entremise de Pékin a permis à la Chine d’affirmer son potentiel diplomatique au Moyen-Orient. Comment comprendre cet accord ? Washington doit-il s’en inquiéter ? Cela constitue-t-il un nouveau versant de la rivalité tout azimut entre les Etats-Unis et la Chine ?