Alors que les tensions commerciales, technologiques et sanitaires entre la Chine et les États-Unis sont au plus haut depuis 1989 (et même plus haut encore car il n’y a même plus l’espoir de faire changer la Chine de sa trajectoire nationaliste-autoritaire par la coopération et le développement), Taïwan est plus que jamais au cœur du jeu asiatique. Dans ce contexte, le discours d’investiture de la présidente de la République de Chine Tsai Ing-wen pour inaugurer son deuxième mandat mérite une attention particulière. Nous en analyserons le contexte local et régional et les réactions chinoises.

Alors que les tensions commerciales, technologiques et sanitaires entre la Chine et les États-Unis sont au plus haut depuis 1989 (et même plus haut encore car il n’y a même plus l’espoir de faire changer la Chine de sa trajectoire nationaliste-autoritaire par la coopération et le développement), Taïwan est plus que jamais au cœur du jeu asiatique. Dans ce contexte, le discours d’investiture de la présidente de la République de Chine Tsai Ing-wen pour inaugurer son deuxième mandat mérite une attention particulière. Nous en analyserons le contexte local et régional et les réactions chinoises.

Alors que les tensions commerciales, technologiques et sanitaires entre la Chine et les États-Unis sont au plus haut depuis 1989 (et même plus haut encore car il n’y a même plus l’espoir de faire changer la Chine de sa trajectoire nationaliste-autoritaire par la coopération et le développement), Taïwan est plus que jamais au cœur du jeu asiatique. Dans ce contexte, le discours d’investiture de la présidente de la République de Chine Tsai Ing-wen pour inaugurer son deuxième mandat mérite une attention particulière. Nous en analyserons le contexte local et régional et les réactions chinoises.

Aujourd’hui dans la revue de presse Asie-Pacifique : Philippines - Japon - PNG/Bougainville et Fidji.

Alors que le monde entier cherche des solutions pour lutter contre la pandémie de Covid-19, l’infectiologue français Didier Raoult a prôné l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Ainsi, après la Chine, la Corée du Sud, la France et les Etats-Unis, à Taiwan le centre de commandement de lutte contre les épidémies a autorisé les médecins à recourir à ce traitement le 26 mars.