Ce décryptage donne un coup de projecteur à la délégation mongole, présente au festival international de la guimbarde de Taïwan, à la fin de l'année dernière.
Nous avons interviewé les quatre membres de l'association mongole de guimbarde, la Mongolian Nomadic Jew’s harp society, qui sont venus à Taïwan : Davaasuren Damjin, spécialiste de chant khoomei et de flûte ; Ayush Munkhchimeg, la présidente de l'association ; Batnyam Batbayar, art-thérapiste ; et Tsendayush Tsendee, musicienne professionnelle.
Ils ont expliqué en quoi la guimbarde fait partie de leur culture, de la tradition nomade et pastorale, mais aussi chamanique, de Mongolie, car cet instrument d'une certaine façon relie l'humain avec la nature.
De gauche à droite : Davaasuren, Ayush, Tsendayush et Batnyam (photo Rti)
Concert au festival de guimbarde international (photo Rti)
Stand de la Mongolie : magnets, osselets de divination, guimbardes... (photo Rti)
Jam en soirée, au festival international de guimbarde de Taïwan (photo Rti)
Ayush montre son T-shirt, collier et boucles d'oreilles, tous aux motifs de guimbardes (photo Rti)
Atelier de chant guttural khoomei avec Davaasuren (photo Rti)
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