close
RTI françaisTélécharger l'App
Ouvrir
:::

La guimbarde mongole, ancrée dans les traditions nomades

  • 14-01-2025
Décryptage
Yourte mongole, devant laquelle Ayush, Tsendayush et Batnyam improvisent à la guimbarde pendant la matinée, tenant le stand (photo Rti)

Ce décryptage donne un coup de projecteur à la délégation mongole, présente au festival international de la guimbarde de Taïwan, à la fin de l'année dernière.

Nous avons interviewé les quatre membres de l'association mongole de guimbarde, la Mongolian Nomadic Jew’s harp society, qui sont venus à Taïwan : Davaasuren Damjin, spécialiste de chant khoomei et de flûte ; Ayush Munkhchimeg, la présidente de l'association ; Batnyam Batbayar, art-thérapiste ; et Tsendayush Tsendee, musicienne professionnelle. 

Ils ont expliqué en quoi la guimbarde fait partie de leur culture, de la tradition nomade et pastorale, mais aussi chamanique, de Mongolie, car cet instrument d'une certaine façon relie l'humain avec la nature. 

 

De gauche à droite : Davaasuren, Ayush, Tsendayush et Batnyam (photo Rti)

    Concert au festival de guimbarde international (photo Rti)

    Stand de la Mongolie : magnets, osselets de divination, guimbardes... (photo Rti)

 

Jam en soirée, au festival international de guimbarde de Taïwan (photo Rti)

  Ayush montre son T-shirt, collier et boucles d'oreilles, tous aux motifs de guimbardes (photo Rti)

    Atelier de chant guttural khoomei avec Davaasuren (photo Rti)

 

Retrouvez les émissions précédentes :

Festival international de guimbarde à Taïwan

Les guimbardes, le monde dans un petit instrument

Hong Hong et la passion de la guimbarde

Les guimbardistes du Cambodge à Taïwan, après avoir presque disparu

Steev Kindwald, musicien nomade

Un Fest-Noz à Miaoli ? La guimbarde amène la danse bretonne à Taïwan

Animateur(s) de l’émission

Vos commentaires