Atelier de construction d'un Takuban : la parole aux participants

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Atelier de construction d'un Takuban organisé à l'été 2023 sous la supervision de Ahung Masikad et Lin Yayin (photo : Sasa)

Certains participants avaient déjà une expérience en construction bambou, ils ont pu aider les débutants (© Sasa)

© Sasa

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Une participante explique ce qu'elle a appris en construisant la cage en bambou pour le singe (cf. premier volet du reportage) du Takuban (© Sasa)

L'une des techniques que les participants ont appris est de nouer les bambous entre eux avec du fil de fer (traditionnellement, ils étaient noués avec du rotin) (© Sasa)

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Apprendre à choisir le bambou en fonction de l'emplacement que l'on envisage dans la construction ( © Sasa)

Le fils d'Ahung Masikad, Bonglai, pousse un bambou en train d'être chauffé au chalumeau pour modifier sa courbure (© Sasa)

Troisième et dernier volet d'un reportage sur un atelier de construction d'un Takuban, maison des adolescents dans la culture des Puyuma. Après avoir évoqué la dimension culturelle et l'importance de la transmission, puis les caractéristiques architecturales du Takuban aux côtés des co-animateurs de l'atelier, Ahung Masikad (鄭浩祥) et l'architecte Lin Yayin (林雅茵), Sasa donne aujourd'hui la parole aux participants à l'atelier. La plupart n'étaient pas d'origine Puyuma, mais il y avait aussi le fils d'Ahung Masikad, qui a partagé ses réflexions sur les difficultés de reprendre la transmission intergénérationnelle, alors qu'elle a été interrompue. 

Cet atelier a été organisé à l'agence d'architecture Dazang à Douliu par le Taiwan Bamboo Tectonics Institute

Première et deuxième parties d'articles en mandarin sur cet atelier

Interview de l'ethnologue Josiane Cauquelin sur RTI : La société Puyuma, structurée par les classes d'âges